Le Devoir
Un client qui a un coup de cœur pour une œuvre a souvent besoin de l'avis d'un expert. Le galeriste saura lui dire s'il fait une bonne affaire. «Le plus important, entre le galeriste et ses clients, c'est la confiance», estime Jacqueline Hébert Stoneberger, directrice de la galerie Beaux-Arts des Amériques. La réputation du lieu ainsi que... (Lire la suite)
samedi 15 octobre 2011
samedi 8 octobre 2011
Des retraités connaissent une vie bien remplie
Le Devoir
La résidence pour personnes âgées Masterpiece, à l'Île-des-Sœurs, recrute. Un programme permet à ceux qui s'y s'installeront avant la fin de l'année d'économiser 400 $ par mois pendant six mois. Près de la moitié des 319 logements cherchent encore preneurs, «mais ça va très bien», déclare son directeur, Jean-René Beaudet. L'appartement d'entrée de gamme revient à... (Lire la suite)
La résidence pour personnes âgées Masterpiece, à l'Île-des-Sœurs, recrute. Un programme permet à ceux qui s'y s'installeront avant la fin de l'année d'économiser 400 $ par mois pendant six mois. Près de la moitié des 319 logements cherchent encore preneurs, «mais ça va très bien», déclare son directeur, Jean-René Beaudet. L'appartement d'entrée de gamme revient à... (Lire la suite)
Dans les universités - Ça sert à quoi, l'éthique?
Le Devoir
«L'éthique, ce n'est pas pour répondre aux questions faciles. On l'utilise dans cette zone grise où des dilemmes émergent parce qu'il y a différentes visions, basées sur différents repères, sur ce qui est bon de faire», explique Bryn Williams-Jones, directeur des programmes de bioéthique du Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal. Les professionnels disposent d'une... (Lire la suite)
«L'éthique, ce n'est pas pour répondre aux questions faciles. On l'utilise dans cette zone grise où des dilemmes émergent parce qu'il y a différentes visions, basées sur différents repères, sur ce qui est bon de faire», explique Bryn Williams-Jones, directeur des programmes de bioéthique du Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal. Les professionnels disposent d'une... (Lire la suite)
samedi 1 octobre 2011
50 ans de passion - Ils et elles l'appellent «Madame Antonine»
Le Devoir
Ses élèves l'appellent Madame Antonine. Elle aurait pu prendre sa retraite il y a 15 ans, en même temps que son conjoint, mais elle n'était pas prête. «Je sentais que j'allais mettre un moteur à terre quand il était bon pour continuer.» Et l'aventure se poursuit. En juin dernier, elle a fêté ses 50 ans de carrière, dont 27 ans passés à l'école...(Lire la suite)
Ses élèves l'appellent Madame Antonine. Elle aurait pu prendre sa retraite il y a 15 ans, en même temps que son conjoint, mais elle n'était pas prête. «Je sentais que j'allais mettre un moteur à terre quand il était bon pour continuer.» Et l'aventure se poursuit. En juin dernier, elle a fêté ses 50 ans de carrière, dont 27 ans passés à l'école...(Lire la suite)
Un réseau s'interroge - L'école publique est-elle vraiment accessible à tous ?
Le Devoir
Même si la loi sur l'instruction publique dit que l'école doit être accessible à tous sans frais, les familles se voient imposer des factures de toutes sortes depuis le milieu des années 1990. Aujourd'hui, les coûts varient de cent dollars à quelques centaines de dollars. Selon le conseiller aux communications de l'Alliance des professeurs de Montréal, Yves Parenteau, le réseau public remplit moins son...(Lire la suite)
Même si la loi sur l'instruction publique dit que l'école doit être accessible à tous sans frais, les familles se voient imposer des factures de toutes sortes depuis le milieu des années 1990. Aujourd'hui, les coûts varient de cent dollars à quelques centaines de dollars. Selon le conseiller aux communications de l'Alliance des professeurs de Montréal, Yves Parenteau, le réseau public remplit moins son...(Lire la suite)
Inscription à :
Articles (Atom)